FA-FPT : Pas de retrait provisoire, mais retrait de l’âge pivot … tout simplement !

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Pas de retrait provisoire, mais retrait de l’âge pivot … tout simplement !

La Fédération Autonome de la Fonction Publique Territoriale (FA-FPT) ne se satisfait pas des annonces faites par le gouvernement ce samedi 11 janvier 2020.

Annoncer un retrait « Provisoire » de l’âge pivot sans retirer l’âge d’équilibre, c’est … ne rien faire ou plutôt, communiquer pour mieux endormir tous les français.

La mesure paramétrique d’âge pivot retirée PROVISOIREMENT par le gouvernement ne concerne pas la mesure systémique dite d’âge d’équilibre ou d’âge de référence, qui dans les faits est l’axe financier de sa réforme.

Le gouvernement, par la voix de son Premier Ministre, a retiré « PROVISOIREMENT » la mesure d’équilibre à court terme qui prévoyait d’instaurer progressivement une décote ou surcote à 62 ans et 4 mois à partir de 2022, pour atteindre 64 ans en 2027.

En agissant de la sorte le gouvernement n’aura pas à subir les remarques des parlementaires sur ce point et pourra, à loisir, réintroduire l’âge pivot à 64 ans par ordonnance dans 3 mois.

La FA-FPT, fidèle à ses valeurs ne cautionne pas le détricotage du droit social, elle reste profondément attachée à la solidarité, refuse la division entre générations et catégories professionnelles, elle refuse de laisser les jeunes générations subir cette réforme.

La FA-FPT sera présente à tous les rendez-vous où seront examinés :

  • Le maintien de la catégorie active et son actualisation
  • Des augmentations générales de salaire
  • Des créations d’emplois statutaires dans les nombreux secteurs qui en ont besoin,et un plan de titularisation des contractuels.
  • La défense des missions publiques et donc l’abandon de toutes les formesd’externalisation et de privatisation.

    Contact presse : Martine GRAMOND-RIGAL

    Présidente de FA-FPT

    Tel : 06.65.64.17.71

     

    A la FA un autre syndicalisme est possible !

    ==> Communiqué FA-FPT –

Communiqué FA SPP-PATS la CNSIS du 24 juin 2020 : une étape, pas une victoire !

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 La réunion était attendue : « au menu”, la revalorisation de la prime de feu ! 

Cette revalorisation (de 19 à 25%) a recueilli un avis favorable aux forceps. Une étape de plus franchie mais en aucun cas une victoire. Il faut désormais attendre l’avis du CSFPT le 1er juillet pour lequel nous avons déposé nos deux amendements : le maintien de la revalorisation à 28% et la rétroactivité au 1er janvier 2020 pour une publication promise avant le mois d’août. 

Les débats ont démontré une fois de plus le cynisme de nos employeurs qui reconnaissent la légitimité de notre demande tout en votant “contre”… Nous aurions pu être émus lorsque la sénatrice Catherine TROENDLE a comparé la situation des SPP à celle des infirmiers, cherchant une fois encore à opposer les acteurs du secours… 

Que dire de l’attitude du président RICHEFOU : brandir l’arrêt de la surcotisation CNRACL afin de permettre la revalorisation de la prime de feu… Une idée “réchauffée” que nous exigeons depuis plus de 15 ans ! De qui se moque-t-on : la revalorisation de la prime de feu représente une augmentation moyenne de 0,15 % des dépenses des départements (merci au Préfet THIRION pour cette précision) !!!! 

Que dire enfin de l’attitude de l’ANDSIS (représentant les directeurs) qui s’est abstenue… Une nouvelle fois, ont-ils oublié qu’ils seront les grands “gagnants” de cette revalorisation ???? 

Restons vigilants et mobilisés car il appartiendra aux CASDIS de prendre les dispositions nécessaires pour modifier vos régimes indemnitaires. Plus que jamais la poursuite de notre mouvement national de grève est légitime ! 

S’engager à vos côtés, réussir ensemble 

==>COMMUNIQUE AUTONOME – CNSIS du 24 juin 2020 u ne étape, pas une victoire ! – 25 06 2020

Réponse à votre invitation à participer à la journée nationale des sapeurs-pompiers le 15 juin 2019 à Paris

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Monsieur Le Ministre de l’Intérieur,

Nous avons réceptionné tardivement votre invitation à la journée nationale des sapeurs-pompiers qui se tiendra le 15 juin prochain et vous en remercions. Cependant, vous comprendrez aisément que, compte tenu du contexte de forte tension sociale et de contestation ambiant, nous ne pouvons répondre favorablement à cette invitation.

Nous nous permettons de vous rappeler qu’aucune réponse n’a été apportée à nos revendications majeures portées unitairement par l’Intersyndicale depuis plus de trois mois. Votre désintérêt évident et votre manque manifeste de considération à l’égard de notre corporation empêchent de construire un véritable dialogue social empreint d’avancées.

A cet égard, permettez-nous d’être interpellés par votre démarche qui est pour le moins contradictoire, en effet, vous ne pouvez pas faire fi de nos revendications majeures, ignorer délibérément l’ensemble de nos demandes et dans le même temps, nous adresser une invitation à participer à la journée nationale des sapeurs-pompiers.

Ce rassemblement national que vous présiderez le 15 juin devrait symboliser l’union, la cohésion et la solidarité. Or, votre inertie face à nos revendications légitimes, dont il est inutile de refaire l’inventaire puisque vous les connaissez, nous démontre clairement que vos préoccupations actuelles sont très éloignées des valeurs que nous portons et défendons chaque jour. Nous maintenons donc notre ligne de conduite, par conséquent, nous déclinons votre invitation. Nous vous prions de croire, Monsieur Le Ministre de l’Intérieur, en l’expression de notre haute considération.

Le Président fédéral, André GORETS

Réponse de la FA SPP PATS au Ministre de l’intérieur

COMMUNIQUE FA/SPP-PATS : Complémentaire Santé

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 PROTECTION SOCIALE COMPLÉMENTAIRE DES FONCTIONNAIRES : 

UN ALIGNEMENT SUR LE SECTEUR PRIVÉ POUR UNE FOIS FAVORABLE AU PUBLIC 

La réforme tant attendue de la protection sociale complémentaire à destination des fonctionnaires dessine enfin des contours un peu plus concrets. Le gouvernement propose en effet d’étendre les dispositions des salariés du privé à la fonction publique. 

C’est désormais officiel : les employeurs publics seront prochainement dans l’obligation de participer financièrement à la complémentaire santé de leurs agents. Cette participation obligatoire a été annoncée par la Ministre de la Transformation et de la Fonctions publiques, Amélie de Montchalin, à la mi-décembre. Elle est inscrite dans le projet d’ordonnance du Gouvernement relative à la protection sociale complémentaire dans la fonction publique. 

Ce texte est pris sur la base de la loi de réforme de la fonction publique de 2019. 

Satisfaite de l’amélioration rédactionnelle de la feuille de route du projet, la Fédération Autonome de la Fonction Publique (FA-FP) a émis un avis favorable à sur ce projet d’ordonnance. 

2026 ! Une date limite 

Le 1er janvier 2026, au plus tard, plus de cinq millions de fonctionnaires pourront ainsi bénéficier d’une couverture complémentaire santé et prévoyance. A cette date, les employeurs des trois versants de la Fonction Publique devront participer à la protection sociale complémentaire de leurs agents. 

Transmis aux représentants du personnel et des employeurs fin décembre, ce texte a été examiné en Conseil commun de la fonction publique, le 18 janvier 2020. 

Le projet d’ordonnance indique l’obligation de participation des employeurs publics « à hauteur d’au moins 50 % » à la complémentaire santé de leurs agents. 

L’atteinte de cette cible se fera toutefois progressivement. Si les dispositions doivent entrer « par principe » en vigueur le 1 janvier 2022, plusieurs dérogations sont en effet prévues concernant la montée en charge de la participation financière des employeurs publics, notamment territoriaux. 

Des contours à préciser 

Le projet d’ordonnance permet aussi aux employeurs publics de participer au : financement de la protection sociale complémentaire dite de prévoyance. Il s’agit de la couverture complémentaire, en sus des droits issus du régime de sécurité sociale liée aux risques d’incapacité de travail, d’invalidité, d’inaptitude ou de décès. 

La fonction publique territoriale est concernée par une obligation de participation à cette prévoyance « qui ne peut être inférieure à 20 % d’un montant de référence fixé par décret », précise le projet d’ordonnance qui devrait entrer en vigueur le 31 décembre 2024. 

À noter, par ailleurs, que ce projet stipule « qu’en cas d’accord signé majoritairement », le texte peut prévoit trois dispositions : « la possibilité de conclure ou de souscrire un contrat collectif », « la création d’une obligation de participation de l’employeur public au financement de la protection sociale complémentaire prévoyance » et « la création d’une obligation d’adhésion ou de souscription des agents publics employés par l’employeur public ». 

La future ordonnance ne constitue néanmoins qu’une première étape dans la réforme de la protection sociale complémentaire de la fonction publique. Le texte renvoie en effet à des décrets le soin de fixer plusieurs de ses modalités d’application. 

Cette réforme d’envergure possède, à ce jour, des contours qui demeurent à affiner. 

La FA/SPP-PATS participera sans réserve aux négociations à venir et demande que ces dernières se déroulent dans le cadre d’un vrai dialogue social, tout au long du dispositif et de sa mise en oeuvre. Nos Syndicats Autonomes départementaux seront nos forces de terrain dans ces négociations. 

Nous demeurons dans l’attente du décret d’application pour la fonction publique territoriale qui fixera le calendrier ainsi que les socles minimums d’octroi. 

 

 

 

 

==> COMMUNIQUE AUTONOME – Complémentaire Santé

Rencontre avec le Ministre de l’intérieur et les financeurs INACCEPTABLE !!!

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Le mouvement social national, porté par l’intersyndicale depuis le 26 juin dernier a permis la mise en place de rencontres ministérielles.

Aujourd’hui, s’est tenue une réunion en présence notamment de :

  • M. Christophe CASTANER, Ministre de l’Intérieur ;
  • M. Dominique BUSSEREAU, Président de l’ADF ;
  • M. Olivier PAVY, représentant de l’AMF.

Malgré une prise de conscience du Ministre de l’Intérieur sur les difficultés exprimées par les sapeurs-pompiers professionnels, les financeurs se dérobent une nouvelle fois. Le ministre a proposé de décréter pour que les SDIS négocient en local sur la base d’une différenciation catégorielle à savoir maximum 5% pour les C, 4% pour les B, 1% pour les A et 0% pour les A+.

L’intersyndicale a mis fin à la réunion aux motifs suivants :

  • La proposition est inacceptable,
  • Elle renforce les inégalités territoriales avec des taux « négociés » par chaque SDIS sur la base d’un décret du ministre,
  • Le ministre annonce un financement supportable pour les collectivités locales qui ne semblent pas décidées à le valider.

    L’intersyndicale réaffirme une prime de feu portée à 28% pour tout le monde !

    La reconnaissance que la nation nous doit, par le biais du gouvernement et des employeurs n’est toujours pas là…

    Communiqué rencontre Ministre de l’intérieur et les financeurs

Courrier Intersyndicale SPP des SDIS de France à Mr le Ministre de l’Intérieur: Réponse du 14 Novembre

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Monsieur le Ministre,

Vous avez bien voulu recevoir l’Intersyndicale et les financeurs sur la revalorisation de la prime de feu, comme l’Intersyndicale l’a revendiquée le 14 mars dernier.

Au regard des propositions que vous nous avez faites, l’Intersyndicale vous a répondu son opposition aux motifs suivants :

– la catégorisation de la prime,

– le renvoi à une négociation locale qui ne ferait qu’accentuer les inégalités territoriales vu la manifestation de peu d’entrain des financeurs.

Nous réaffirmons donc notre position initiale d’atteindre 28% de prime de feu pour toutes les catégories.

Dans un souci de sortie de crise voulue par tous, nous vous proposons un échéancier de deux ans (2020 – 2021) pour atteindre ce taux de 28%.

De plus, des marges conséquentes pourraient se dégager (augmentation de la fraction de la TSCA pour les SDIS, revalorisation de la carence d’ambulance privée…) et nous attendons également des propositions fortes des représentants de l’ADF et de l’AMF.

Responsable et constructive, l’Intersyndicale vous alerte sur la crise profonde que nous vivons. Nous vous exprimons nos craintes d’un conflit qui non seulement pourrait s’élargir mais également se durcir.

Nous vous adressons, Monsieur le Ministre, nos plus sincères salutations.

Absence de dialogue, le Gouvernement dégaine le 49.3

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 Après deux semaines de débats, le Premier ministre a engagé la responsabilité du Gouvernement sur le projet de loi des retraites. 

Pour la Fédération Autonome de la Fonction Publique Territoriale (FA-FPT), ce recours au 49.3 n’a aucun sens. 

Pour la FA-FPT le recours au 49.3 est une arme constitutionnelle qui permet au Gouvernement de mettre un terme au débat. 

Pour la FA-FPT le recours au 49.3 est une arme contre le débat démocratique. 

La FA-FPT rappelle que l’examen des amendements est la seule façon pour les parlementaires d’interroger le Gouvernement mais aussi d’enrichir le texte proposé. Les amendements ne sont donc jamais inutiles. 

Pour la FA-FPT, ce recours met en évidence l’absence de dialogue du Gouvernement, la représentation nationale étant traitée comme les partenaires sociaux, sans la moindre écoute. 

La FA-FPT constate que le Gouvernement n’a pas su convaincre, n’a pas su expliquer sa réforme et que son projet est incertain, pour ne pas dire néfaste aux françaises et français. 

La FA-FPT regrette que le débat n’ait pu avoir lieu dans les deux Assemblées et que le Gouvernement a, une fois de plus, fermé la porte aux négociations que nous aurions pu faire présenter soit par les députés, soit par les sénateurs. 

Pour FA-FPT la réforme des retraites aurait mérité un vrai débat. Trop de questions demeurent sans réponses, notamment celle du financement. 

La FA-FPT dénonce l’attitude du Gouvernement et maintient sa mobilisation contre ce projet. 

 Contact presse :

Martine GRAMOND-RIGAL 

Présidente de FA-FPT 

Tel : 06.65.64.17.71 

 A la FA un autre syndicalisme est possible ! 

communique-fa-fpt-absence-de-dialogue

La Fédération Autonome poursuit son combat !!!

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Conformément à nos engagements, nos adhérents Autonomes et sympathisants de nos syndicats départementaux ont répondu ultra majoritairement à la poursuite de notre mouvement de grève nationale initié par notre préavis du 26 juin 2019.

La Fédération Autonome SPP-PATS, Autonome, Apolitique et Indépendante continue son combat !

Compte rendu Réunion Fonction Publique avec Olivier Dussopt – Covid-19

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 La Fédération Autonome de la Fonction Publique était représentée par Pascal Kessler, Président de la FA-FP et Martine Gramond-Rigal, Présidente de la FA-FPT 

« Face à cette crise sanitaire mondiale, la FA-FP est ravie d’entendre, enfin, que les services publics sont nécessaires pour la nation. 

Face à cette crise, les nantis de la république ne le sont pas autant qu’on le laisse croire et l’Etat préfère, et ce depuis le début de la crise, prendre des mesures à destination du secteur du privé mais refuse d’y inclure les agents du service public. 

« La santé n’a pas de prix » clame le Président de la République dans son intervention du 12 mars dernier, alors que les personnels hospitaliers sont en grève depuis de longs mois contre le massacre de l’hôpital public. 

Les personnels hospitaliers sont arrivés à un point de rupture faute d’avoir été soutenus, défendus. 

Ne devriez-vous pas réquisitionner les pourfendeurs du service public en les mettant à contribution à côté de ces agents fatigués ? 

Ce ne sont pas des messages de gratitude que ces hommes et femmes attachés au service public veulent, ce sont des moyens matériels, financiers et humains. 

Ils n’ont pas besoin de mots creux mais d’une reconnaissance de leurs compétences avec des moyens pour soigner : des lits d’hospitalisation, des effectifs soignants et de meilleurs salaires. 

La gratitude exprimée envers les personnels de santé dans l’allocution du président de la république a été entendue mais elle n’est pas suffisante. 

Nous attendons des actes immédiats, de vraies décisions, de vrais moyens, pas simplement l’autorisation de faire des heures supplémentaires qui ne seront jamais payées ou récupérées. 

Mais la crise qui nous touche, n’est pas le seul apanage des personnels de santé. 

Avant d’être pris en charge par l’hôpital public, les malades passent dans les mains de nos sapeurs-pompiers que vous avez outrageusement oubliés. 

Eux aussi sont en grève depuis juin 2019. Ce mouvement de grève a été suspendu dès vendredi pour faire face à cette crise sans précédent par attachement à leur uniforme et pour servir encore plus la population touchée par ce fléau. 

Mais ces hommes et ces femmes de convictions ont des revendications pour leur santé et celle de nos concitoyens tout comme pour le bon fonctionnement des services publics et vous les rayez purement et simplement de votre considération. 

Avez-vous connaissance que dans certaines casernes, l’obligation est faite de justifier, par écrit, l’utilisation des masques ? 

Savez-vous que nos pompiers ne possèdent pas tous des masques pour chaque intervention réalisée ? 

Avez-vous connaissance du manque de matériel comme par exemple des thermomètres ? 

Que va-t-il se passer lorsque par manque de protection un de nos pompiers sera déclaré positif ? 

Lorsque cela sera le cas, c’est toute une section qui va se retrouver en quarantaine et dans l’impossibilité d’assurer ses missions de secours à la personne. 

Quels moyens envisagez-vous de donner pour que les services de secours puissent remplir leurs missions ? 

Face à cette épidémie, la FA-FP attend des mesures immédiates pour les policiers nationaux et municipaux, les personnels hospitaliers, les agents des EHPAD territoriaux et hospitaliers et plus largement les agents du service public qui seront toujours en contact avec du public et dont les missions ne permettent pas le télétravail. 

D’ailleurs le télétravail n’est pas nécessairement possible pour tous. Les outils n’existant pas obligatoirement dans tous les lieux où le service public se pratique. 

Face à cette épidémie, la FA-FP attend des mesures pour permettre aux agents publics de garder leurs enfants, puisque les établissements scolaires sont fermés, et ce bien au-delà des 12 jours prévus puisqu’il semble évident à tous que cette situation va perdurer. Sur ce point vous avez répondu mais nous attendons un texte. 

La FA-FP exige que le jour de carence soit purement et simplement supprimé. 

La FA-FP exige que les primes des agents publics ne soient pas réduites en cette période de crise sanitaire. 

La FA-FP exige une prise en charge du coût de la garde à domicile des enfants pour les agents contraints d’effectuer leurs missions. 

La FA-FP exige que TOUS les agents travaillant en temps annualisé tels que les ATSEM, les agents des établissements périscolaires, des services techniques, de l’éducation nationale, des universités etc. … ne soient pas pénalisés par la fermeture de leurs lieux de travail. 

Le sens du service public ne peut être évoqué sans prise en compte des agents qui le porte au quotidien, aussi la FA-FP veut des réponses immédiates et à la hauteur de la solidarité dont ont toujours fait preuve collectivement les agents du service public. » 

Pascal Kessler, Président de la FA-FP 

06 81 01 38 51 

Martine Gramond-Rigal, Présidente de la FA-FPT 

06 65 64 17 71 

==>Declaration liminaire FA-FP Reunion Covid19 avec Olivier Dussopt

Réunion Intersyndicale et comité des financeurs

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 Le 9 octobre 2019 l’intersyndicale a été reçue pendant une heure par le comité des financeurs (maires de France et départements de France). 

Après un rappel de nos revendications légitimes, la partie de ping-pong entre les financeurs et l’État n’est pas prête de se terminer. 

Après nous avoir réaffirmé que nous faisons un métier formidable et que nous sommes indispensables, nos financeurs nous opposent les contraintes financières de l’État et refusent de s’engager à ce stade. 

Messieurs BUSSEREAU et BAROIN rencontrent demain le ministre de l’Intérieur pour évoquer, entre autres, certaines de nos revendications. 

Pour que cesse ce jeu de dupes, l’intersyndicale demande à être reçue par le Premier ministre et les financeurs lors d’une même réunion dans les plus brefs délais. 

Plus que jamais l’intersyndicale appelle à un rassemblement massif des sapeurs-pompiers et de tous les agents des SDIS de France. 

Nous vous attendons nombreux à Paris place de la République 

à partir de 12 h, le 15 octobre 2019. 

« Nous savons ce que vous faites pour nous, et nous savons ce que nous vous devons » BUSSEREAU Dominique le 9 octobre 2019… 

2019-10-09-Rencontre Intersyndicale-ADF_AMF